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Traitements Lasers

Le terme L.A.S.E.R est l’acronyme anglo-saxon de Light Amplified by Stimulated Emission of Radiation (Lumière Amplifiée par Emission Stimulée de Rayonnement). Le laser émet une lumière cohérente et monochromatique, c’est à dire composée d’une seule longueur d’onde. Celle-ci est choisie en fonction de la cible que le dermatologue désire traiter. Ainsi, il existe plusieurs types de lasers en fonction de l’indication, permettant de traiter de nombreuses maladies cutanées et de corriger le vieillissement et les imperfections de la peau selon la demande du patient.

Comment marche un LASER ?

Le rayon lumineux du LASER est focalisé sur une cible cutanée, que l’on appelle “chromophore“. Il modifie sa structure soit en la chauffant, soit en la coagulant ou en la détruisant. Les trois chromophores principaux de la peau qui vont absorber l’énergie des rayons lumineux émis sont :

  • L’hémoglobine : contenue dans les globules rouges permettant le transport de l’oxygène, c’est la cible des lasers vasculaires indiqués dans la rosacée, les angiomes, les varicosités.
  • La mélanine: le pigment contenu dans la peau et les poils, cible des lasers épilatoires et pigmentaires indiqués pour les taches brunes, les détatouages.
  • L’eau contenue dans la peau : cible des lasers CO2 ou de relissage fractionnels pour le resurfacing, le traitement du vieillissement cutané et des cicatrices.

Que peut-on traiter avec un LASER ?

Traitement des pigmentations et des tatouages avec les lasers pigmentaires :

Les taches brunes solaires, dues aux expositions solaires répétées peuvent être traitées avec des lasers dits “déclenchés“ ou lasers Q-Switched qui ont la particularité d’avoir des impacts très courts permettant de fragmenter la mélanine. Si le résultat est spectaculaire en quelques séances, la prévention reste de mise et il faut conseiller une protection solaire efficace pour éviter de nouvelles taches solaires et surtout la survenue de cancers cutanés.Les lasers Q-Switched sont aussi utilisés pour effacer les tatouages, dont le caractère définitif et la localisation fréquente aux zones découvertes, peuvent parfois occasionner une gène esthétique.

Il n’y a pas de prise en charge par la Sécurité Sociale sauf pour certains enfants naissant avec des grandes taches dites “café au lait“, qui peuvent être effacées avec ces lasers Q-Switched.

Le Dr Casacci utilise le laser Q Switched Alex Trivantage CANDELA au centre laser du CHU de Nice.

Traitement de la couperose, rosacée, varicosités et angiomes avec les lasers vasculaires:

Pour traiter les rougeurs cutanées, on dispose de trois types d’appareil qui émettent chacun une longueur d’onde différente : le laser KTP à 532 nm, le laser colorant pulsé à 585 ou 590 nm, le laser Nd-Yag à 1064 nm. La lampe intense pulsée, dont le rayonnement lumineux est polychromatique (composé de plusieurs longueurs d’ondes) et moins puissant qu’un laser, peut également traiter les lésions vasculaires mais au prix de séances plus nombreuses.

Classiquement, chacun de ces appareils a une indication privilégiée mais le réglage de leurs différents paramètres permet un élargissement de leur utilisation à d’autres indications vasculaires.

La destruction d’un vaisseau sanguin par laser, se fait soit :

  • par éclatement des parois vasculaires, provoquant un purpura, c’est à dire une petite tâche violette pendant une dizaine de jours,
  • par coagulation de l’hémoglobine des globules rouges circulant à l’intérieur du vaisseau, provoquant plutôt des rougeurs et un œdème pendant quelques jours.

Le Dr Casacci utilise le laser ND Yag Long pulse Elite+ CYNOSURE pour le traitement des varicosités des membres inférieurs, des angiomes rubis ou de la couperose des ailes du nez, à son cabinet.

En raison d’effets secondaires liés à l’utilisation de ce laser sur les rougeurs du visage, la rosacée et les angiomes plans seront traités par le laser à colorant pulsé CANDELA au centre laser du CHU de Nice.

Un remboursement par l’Assurance Maladie est uniquement possible pour le traitement des angiomes plans.

Laser épilatoire

L’épilation longue durée est un acte doit être encadré médicalement pour éviter les brûlures, surtout sur les peaux mates ou bronzées. La législation française interdit en effet à un non médecin d’utiliser un laser ou une lampe intense pulsée médicale. Il doit être réalisé préférentiellement par un dermatologue, spécialiste de votre peau qui possède les qualifications et l’expérience indispensables à l’utilisation des lasers épilatoires.

Le laser dit alexandrite est le laser de référence pour les peaux blanches alors que le laser Nd-YAG l’est pour les peaux foncées. Le laser diode peut être également utilisé. Les lampes pulsées intenses médicales (lampes flash) sont de moins en moins utilisées compte tenu de la supériorité des techniques lasers.

Le rayonnement laser va être absorbé par la mélanine contenue dans la tige pilaire et transformé en chaleur responsable de la destruction du bulbe pilaire.

Par ailleurs les lumières pulsées non médicales utilisées par des personnels non médicaux (centres et instituts esthétiques) ont une puissance limitée qui permettra certes de faire tomber le poil mais qui est insuffisante pour provoquer la destruction définitive du follicule pileux. De nombreux(ses) patient(e)s regrettent d’avoir céder aux offres à bas prix ou aux forfaits attractifs proposés dans les instituts ou centres esthétiques, pour des résultats décevants et/ou la survenue d’effets indésirables dont le principal est la brûlure. Une épilation laser médicale a forcément un coût lié à l’achat (entre 50 et 100 M €) et à la maintenance d’appareils performants, à la formation du praticien et à la durée de la séance, seuls garants de leur efficacité et de votre sécurité.

Le Dr Casacci utilise le laser Elite + de CYNOSURE Alexandrite Long pulse pour la dépilation des peaux claires et le ND Yag Long pulse pour celle des peaux mates et foncées, à son cabinet.

Traitement du photovieillissement (rides, relâchement cutané) et des cicatrices avec les lasers CO2 fractionnés

Les lasers de relissage fractionnels (appelés également lasers fractionnés) sont utilisés en France depuis 2006. Au lieu d’abraser toute la surface de la peau traitée, les lasers ablatifs fractionnels vont créer des puits microscopiques, plus ou moins larges et profonds, séparés par de la peau intacte à partir de laquelle se fait la cicatrisation, ainsi plus rapide. Au cours du processus, une néo-collagenèse (synthèse de collagène) est induite par l’échauffement dermique provoqué. C’est un excellent compromis entre le relissage traditionnel, qui est de moins en moins pratiqué compte tenu de ses effets secondaires, et le remodelage non ablatif.

Le relissage fractionnel s’adresse aussi bien aux femmes qu’aux hommes et est particulièrement bien adapté pour les zones du visage, du cou et du décolleté. Le chromophore étant l’eau contenue dans la peau, ce traitement peut être proposé pour toutes les couleurs de peau. Les résultats souvent spectaculaires, se manifestent par un relissage et un rajeunissement caractérisés par une très grande amélioration des rides et ridules, une fermeté de la peau ainsi qu’une amélioration des troubles pigmentaires.

Cette technique est indiquée dans le traitement des rides et ridules, des cicatrices (d’acné notamment), de certains troubles pigmentaires. Des résultats intéressants sont également notés sur certaines vergetures.

Ce traitement certes coûteux, est révolutionnaire dans la prise en charge du vieillissement cutané et des peaux abîmées permettant d’obtenir un rajeunissement significatif. Il n’est pas pris en charge par l’Assurance Maladie.

Comment se passe la première consultation ?

Une consultation préalable au traitement est indispensable pour établir le protocole de soins en fonction de vos attentes, de la zone à traiter et des caractéristiques de votre peau.

Lors de cette consultation votre dermatologue vous expliquera le déroulement des séances, les suites attendues, le prix et les éventuels effets indésirables. Un devis vous sera remis, ainsi qu’une fiche d’information éclairée, après une explication claire et la plus complète possible. Un délai de réflexion de 15 jours est obligatoire avant de débuter la première séance.

Par ailleurs, il est indispensable, lors de cette consultation de préciser tous vos antécédents, même s’ils vous paraissent mineurs ou sans rapport avec votre demande esthétique, ainsi que tous vos traitements pris durant le mois précédant la séance.

Enfin, votre dermatologue examinera les zones à traiter afin de ne pas méconnaitre certaines contre-indications.

Comment se déroulent les séances ?

Le traitement est effectué sur une peau démaquillée et débarrassée de la crème de contact anesthésiante qui est appliquée auparavant pour certaines indications.

Des lunettes ou des coques métalliques de protection oculaire vous seront remises. Tous les lasers utilisés en dermatologie sont en effet capables de brûler certaines structures anatomiques de l’œil, et ce, même si le rayonnement émis est invisible. Leur port est donc obligatoire.

Votre dermatologue vous avertira avant le premier impact, et progressera ainsi en balayant de proche en proche la zone à traiter avec le scanner, c’est à dire la tête du laser, par lequel est émis le rayonnement.

En fin de séance une crème hydratante sera appliquée sur la zone traitée.

Quelles sont les contre indications ?

Les capacités du patient à respecter les consignes

Les soins lasers restent des actes médicaux, même s’il s’agit de soins esthétiques. Comme tout acte médical, la séance laser comporte des risques qui peuvent être réduits par le respect de consignes et de soins avant, pendant ou après la séance, afin d’éviter, par exemple, une infection, une réactivation virale (herpès), une pigmentation ou une cicatrisation anormale. Le médecin peut donc refuser de traiter s’il a un doute sur l’observance des consignes qui auront été précisées lors de la première consultation.

Les attentes irréalistes du patient en esthétique

Très souvent, la presse et les médias ont tendance à présenter les traitements esthétiques et à fortiori les lasers comme des procédures miraculeuses capables de venir à bout de toutes les imperfections, s’appuyant sur des photos avant/après, au mieux de cas exceptionnellement réussis, ou au pire après maquillage ou retouches informatiques. Si, en effet, certains traitements lasers améliorent de façon spectaculaire certaines dermatoses ou certains troubles esthétiques, l’effet n’est pas toujours aussi impressionnant qu’on peut l’espérer. Il y a toute une gamme de résultats entre l’amélioration très faible et la très bonne amélioration. Votre dermatologue vous informera par un discours clair et un peu plus réaliste que la vision idyllique véhiculée par la presse, sur les résultats que vous pouvez raisonnablement obtenir. Si ces objectifs sont trop éloignés de vos attentes, il convient de refuser le traitement ou de le reporter à plus tard afin d’éviter tout contentieux mais surtout pour vous éviter toute déception par un résultat qui n’est pas à la hauteur de vos espérances.

La couleur de la peau

Pour faciliter leur travail, les dermatologues utilisent une échelle, dite échelle de phototype de Fitzpatrick, en fonction de la coloration de la peau, des cheveux et de la réaction au soleil. Cette échelle définit 6 phototypes et donc 6 catégories de risque laser :

  • phototype 1 : peau très claire, ne bronze pas, coups de soleil systématiques.
  • phototype 2 : peau très claire, bronze difficilement, coups de soleil fréquents.
  • phototype 3 : peau claire, bronze progressivement, coups de soleil occasionnels.
  • phototype 4 : peau mate, bronze bien, coups de soleil peu fréquents.
  • phototype 5 : peau foncée, bronze facilement, coups de soleil rares.
  • phototype 6 : peau noire, jamais de coups de soleil.

Les phototypes clairs (1 à 3) ne posent en général aucun problème, le pigment contenu dans l’épiderme est en trop faible quantité pour interférer avec les chromophores des lasers pigmentaires, notamment la mélanine du poil ou le pigment des tatouages. Les peaux mates ou foncées (phototypes 4, 5, 6), elles, peuvent parfois poser un problème puisque dans ce cas, la mélanine présente en grande quantité dans l’épiderme constitue un chromophore indésirable pour certains lasers. L’action des lasers sur des peaux foncées peut ainsi détruire, parfois définitivement, les cellules qui assurent la coloration de la peau avec des zones devenant dépigmentées, parfois à vie. Il existe des lasers adaptés aux peaux pigmentées dans certaines indications, mais parfois, il n’y a pas d’autre alternative que l’abstention.

Par ailleurs beaucoup de lasers occasionnent des réactions inflammatoires après les séances. Elles peuvent alors entraîner une hyperpigmentation dite “post inflammatoire“ dont le risque est augmenté sur des peaux foncées ou métisses.

Enfin, certains patients de phototype foncé ont une prédisposition à développer des cicatrices très épaisses dites hypertrophiques ou chéloïdes, parfois spontanément, sur la poitrine, les oreilles, les épaules (…). Elles peuvent survenir après un traumatisme même mineur, comme celui que les lasers induisent.

Ainsi, on se méfiera des lasers vasculaires de type KTP (532 nm) pour le traitement des petites varicosités et la couperose, contre-indiqués sur les peaux d’un phototype supérieur à 4, car ces lasers ciblent aussi la mélanine de la peau.

Les lasers alexandrite sont très efficaces pour l’épilation des peaux claires, mais sont eux aussi dangereux pour les phototypes supérieurs à 4. Sur ces peaux foncées, on utilise des lasers spéciaux ou Nd-YAG (1064 nm) qui permettent d’épiler les peaux noires.

Les lasers Diodes (800 nm, 940, 980 nm), certains lasers CO2 fractionnés sont eux, le plus souvent, utilisables sur tous les types de peau, y compris les peaux noires si certaines précautions sont respectées.

Le bronzage

Pour les mêmes raisons développées ci-dessus, le bronzage est l’ennemi du laser. C’est une contre-indication absolue sur laquelle praticiens sérieux ne transigent pas. L’arrangement, en épilation, qui consiste à proposer d’épiler quand même une peau bronzée avec un laser pour peaux noires, est dangereuse et n’a d’intérêt que financier pour l’opérateur. Celui-ci ne respecte alors pas les recommandations internationales et expose son patient à des risques connus, au mieux, de moins bonne efficacité du traitement, et au pire, des brûlures, et des troubles pigmentaires (hyperpigmentation ou dépigmentations), dont certains peuvent être définitifs.

L’allergie au froid

La plupart des lasers sont utilisés avec un dispositif de protection de la surface de la peau employant du froid intense, souvent au dessous de zéro degré, afin d’éviter des brûlures. Certains patients développent des allergies au froid de type urticaire, et ne peuvent donc pas être traités au laser.

Les troubles de la coagulation

Les troubles de la coagulation, et la prise de médicaments anti-coagulants peuvent constituer une contre-indication à l’utilisation des lasers car le traumatisme laser peut occasionner des hématomes ou des hémorragies.

Les troubles de la cicatrisation

La plupart des lasers stimulent les phénomènes de cicatrisation, effet d’ailleurs recherché dans le photorajeunissement. De plus, de nombreux lasers provoquent de petites brûlures superficielles qui cicatrisent sans séquelle sur les peaux normales. Les patients présentant des troubles de la cicatrisation, par contre, ont plus de risque de développer des cicatrices atrophiques, hypertrophiques, ou chéloïdes. Par ailleurs, certaines maladies perturbent les phénomènes de cicatrisation (diabète déséquilibré, troubles immunitaires, maladies hormonales ou induisant la production de cortisol, traitements corticoïdes …) et il conviendra de les signaler au cours de la première consultation.

L’épilepsie

De façon anecdotique, certaines formes très rares d’épilepsie peuvent être déclenchées par les stimulations lumineuses répétées, comme celles provoquées par les impacts lasers.

La prise de certains médicaments photosensibilisants

Ces médicaments, ou plantes, peuvent entraîner une augmentation de la sensibilité de la peau au soleil et donc au rayonnement de certains lasers dont la longueur d’onde est proche de celle des ultra-violets. Ces médicaments photosensibilisants exposent le patient au risque de brûlures (phototoxicité), simulant un surdosage important du laser ou provoquent des réactions allergiques de type urticaire, oedème… (photoallergie). De façon non exhaustive, il s’agit des médicaments de type :

  • Antiépileptiques
  • Certains antibiotiques (tétracyclines, fluoroquinolones)
  • Certains médicaments contre l’acné
  • Certains antidépresseurs
  • Certains anti-inflammatoires
  • Certains médicaments diurétiques
  • Certains médicaments anti-cancéreux
  • Certaines plantes
  • Certains colorants (éosine, bleu de méthylène…)
  • Certaines crèmes et cosmétiques
  • Certains compléments alimentaires à base de vitamine A
  • Les auto-bronzants

Les lasers épilatoires (Alexandrite et Nd YAG) émettent une longueur d’onde (respectivement 755 nm et 1064 nm) qui est éloignée du spectre d’émission des UV (de 200 à 400 nm), et qui en théorie ne peut pas provoquer d’accident de photosensibilisation. Cependant, vous devez impérativement informer votre dermatologue de la prise de l’une ou plusieurs de ces classes thérapeutiques à la première consultation.

Les maladies occasionnant une sensibilisation à la lumière

De la même façon, il existe des maladies dermatologiques ou atteignant d’autres organes qui ont la propriété de rendre la peau plus sensible à la lumière. Ce sont des photodermatoses que votre dermatologue recherchera au cours de l’interrogatoire de la première consultation. Parmi ces maladies, on peut citer:

  • les porphyries
  • les lucites
  • l’urticaire solaire
  • la dermatite actinique chronique
  • les photodermatoses printanières
  • le prurigo actinique
  • la phénylcétonurie
  • le xeroderma pigmentosum
  • quelques maladies génétiques rares
  • la pellagre et les troubles du métabolisme du tryptophane

 

Enfin, d’autres maladies sont aggravées par l’exposition à la lumière, ce sont des  dermatoses photo-aggravées:

  • Le lupus
  • Les pemphigus et les pemphigoïdes
  • L’érythème polymorphe
  • L’herpès
  • Certaines dermatoses virales
  • Le pityriasis rubra pilaire
Les lésions cancéreuses

En général, sauf cas très particulier, les lésions cancéreuses constituent des contre-indications au laser.

Quelles sont les précautions à prendre vis à vis du praticien si je me décide pour un traitement LASER ?

Le champ d’application des lasers s’élargit régulièrement à de nouvelles indications. Le laser est un instrument médical de haute précision dont l’utilisation engendre des modifications profondes des structures traitées et il ne peut être correctement utilisé que par un médecin expert de la technique et de ses indications. Actuellement seuls les spécialistes en Dermatologie ont une formation en laser au cours de leurs études qu’ils peuvent compléter par des diplômes universitaires reconnus nationalement.

À ce titre, le Dr CASACCI, est titulaire du Diplôme Inter-Universitaire de dermatologie esthétique, lasers dermatologiques et cosmétologie. Elle participe activement à des formations médicales continues et à des congrès afin de parfaire ses connaissances au service de votre santé et de votre beauté.  Elle est spécialisée dans la pratique des lasers, et a exercé en tant que praticienne hospitalière, dans le centre des lasers dermatologiques du centre hospitalier universitaire de Nice. Elle partage son activité laser entre son cabinet et le centre laser du CHU de Nice, pour répondre le plus précisément possible à vos attentes, avec du matériel de pointe dernière génération.